Portrait de Philippe Di Folco

à lire : My love Suprême (éditions Denoël, 2001)

tu t'auto-décris comme : un lecteur névrotique

A Zone, on pense que : charmant quand il est sobre, encore plus charmant lorsqu'il l'est moins...

ton " maître " en littérature : plusieurs, j'arrive pas à me décider… bon : Perec, Bernardt, Beckett...??

où et comment tu écris : partout : métro, café, sur mon bureau, dans les WC . J'utilise depuis 12 ans des petits carnets et un crayon attachable

table de chevet : Mélodies de Helmut Krausser (Seuil), un pur chef-d'œuvre allemand écrit en 1992 d'un auteur né en 1964.

scène érotique ou amoureuse préférée au cinéma : J.P. Léaud et sa compagne (Marie Dubois ? ?) dans Baiser volé (Truffaut). Toutes les scènes de Shadows de Cassavetes (à tomber !)

musique: en ce moment, Le Vieux fusil : Paris 1939 , par François de Roubaix

un coin de Paris : la Mouffe où je suis

ce que tu détestes en toi : ma susceptibilité paranoïde

ce qui te flatte le plus : que l'on me dise que mon enfant est magnifique

le moment le plus embarrassant de ta vie : ma première fois au lit

ton plus gros mensonge : ma première fois au lit

si tu étais invisible : je passerai mon temps à écouter les filles entre elles

si tu étais du sexe opposé : je serais prostituée de luxe, vivant sur la côte normande au crochet d'un écrivain célèbre

phrase fétiche : " Ce qu'il nous faut c'est construire une crèche vivante… "

projets à court terme : faire en sorte que ce putain de livre soit lu et vendu...

Florian Zeller


Philippe Di Folco
Ed.
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